samedi 10 décembre 2011

Téléphonoscope n° 18 "Robida et la défense du patrimoine"



Téléphonoscope n° 18 "Robida et la défense du patrimoine"
(52 pages) 82 illustrations.

1- Editorial, par Eric Blanchegorge.
2- La défense du patrimoine bâti des Romantiques à Robida par Françoise Hamon.
3- Robida polémiste par Jean-Claude Viche.
4- Paris de siècle en siècle et la sauvegarde du Paris ancien par Ruth Fiori.
5- Robida et Viollet-le-Duc, deux amoureux du Moyen Age par Michel Thiébaut.
6- Le vieux Compiègne d'Albert Robida par Eric Blanchegorge.
7- Robida et la défense du patrimoine naturel par Dominique Lacaze.
8- Le Vingtième Siècle et La Vie électrique sont-ils des contre-utopies ? par Dominique Lacaze.
9- Robida a-t-il été un témoin fidèle ? par Patrice Warin.
10- Le pittoresque selon Robida : Veules-les-Roses et son vieux colombier par Jean-Pierre Desvaux.



Bulletin des amis d'Albert Robida
Novembre 2011 - numéro 18

Auteurs : Eric Blanchegorge, Jean-Pierre Desvaux, Ruth Fiori, Françoise Hamon, Dominique Lacaze, Michel Thiébaut, Jean-Claude Viche, Patrice Warin.

Ce numéro s’intéresse d’abord au patrimoine bâti. Robida a accompagné un mouvement de protection du patrimoine architectural né au début du dix-neuvième siècle sous influence anglaise. Ses livres sur les provinces françaises ou sur les vieilles villes de divers pays témoignent de cet engagement. Mais Paris occupe une place essentielle et nous avons étudié particulièrement son Paris de Siècle en Siècle. Une part importante du numéro est aussi consacrée à une confrontation entre les dessins de Robida et l’état actuel des édifices. Concernant l’urbanisme, Robida intervient dans les revues où son talent de caricaturiste fait merveille contre l’Haussmannisme.




Dans sa défense du passé, Robida s’attache encore à d’autres éléments culturels tels que les costumes régionaux ou la connaissance de l’Histoire de France dont il est un vulgarisateur auprès des enfants. Enfin Robida dénonce, dans ses livres d’anticipation, la dégradation du patrimoine naturel qui est due à l’usage de technologies intrusives, mais dont la cause profonde est pour beaucoup la croissance démographique.


Robida a été un défenseur actif du patrimoine bâti par son engagement de caricaturiste contre l’Haussmannisme et par ses livres sur les provinces françaises, sur Paris ou les vieilles villes de divers pays. Nous avons particulièrement étudié son Paris de Siècle en Siècle et organisé une importante confrontation entre les dessins de Robida et l’état actuel des édifices ou des sites représentés.




Robida dénonce aussi, dans ses livres d’anticipation, la dégradation du patrimoine naturel due à l’usage de technologies intrusives et à la croissance démographique. Il s’attache enfin à la défense d’éléments culturels tels que la connaissance de l’Histoire de France dont il est un vulgarisateur auprès des enfants.