Après presque un mois de silence, avec de nombreux problèmes de site et d’hébergement… un léger mieux qui me permet de redémarrer un peu sur le projet… et de continuer la modélisation du Vieux-Paris.
Cette tour aux angles abattus porte tout en haut un petit pavillon carré à pans de bois.
C’est la reproduction d’un édifice parisien qui a dû disparaître au tout début du XXème siècle. C’était à cette époque un des derniers survivants des vénérables collèges de l’antique université. Choisie par Robida, on peut voir la Tour de l’Escalier du Collège Fortet, qui était situé tout en haut de la montagne Sainte-Geneviève, aujourd’hui rue Valette.
Laissons maintenant parler les polygones :
mardi 11 mars 2008
Théophraste Renaudot… une maison rondement menée…
Maison de Théophraste Renaudot
Théophraste Renaudot, né en 1586 à Loudun (actuel département de la Vienne) et mort le 25 octobre 1653 est un journaliste, médecin et philanthrope français. Il est le fondateur de la publicité et de la presse française par ses deux créations du Bureau d’adresse (1629) et de la Gazette, journal hebdomadaire (30 mai 1631). Médecin ordinaire du roi, il fut nommé « commissaire aux pauvres du royaume ».
La maison ici reconstituée était située dans la Cité, rue de la Calande (ou Calandre), rue célèbre qui allait de la porte du Palais, rue de la Barillerie, donnant sur la cour de la Sainte-Chapelle, à la rue de la Juiverie, quartier des gens de robe, procureurs ou notaires, et aussi de cabarets.
Le journal, pouvoir des temps modernes est né là; c’est dans cette maison du XVème siècle, à l’enseigne du Grand Coq, un jour de 1631, que parut le premier numéro de la gazette, donnant les nouvelles politiques de la France et de l’étranger, signalant les événements du jour et les commentants de courtes réflexions…
La maison ici reconstituée était située dans la Cité, rue de la Calande (ou Calandre), rue célèbre qui allait de la porte du Palais, rue de la Barillerie, donnant sur la cour de la Sainte-Chapelle, à la rue de la Juiverie, quartier des gens de robe, procureurs ou notaires, et aussi de cabarets.
Le journal, pouvoir des temps modernes est né là; c’est dans cette maison du XVème siècle, à l’enseigne du Grand Coq, un jour de 1631, que parut le premier numéro de la gazette, donnant les nouvelles politiques de la France et de l’étranger, signalant les événements du jour et les commentants de courtes réflexions…
Derniers polygones pour Nicolas…
Suite et fin de modélisation pour la maison de Nicolas Flamel… …dans l’état actuel de mes connaissances et surtout de ma documentation. J’avais évoqué, il y a quelque jours le fait que cette maison existait toujours actuellement, et qu’elle se trouvait être un restaurant, plus exactement l’Auberge Nicolas Flamel… étant sur Paris la semaine prochaine, j’en profiterais pour y aller faire une petit tour, et pourquoi pas, en plus de relever les détails extérieurs de la maison, essayer leur table.
auberge Nicolas Flamel
La version pour le Vieux-Paris :
auberge Nicolas Flamel
La version pour le Vieux-Paris :
La frise du Pignon…
Elément clef de la maison de Nicolas Flamel… la frise représentant Jésus-Christ ayant à ses côtés Nicolas Flamel et Dame Pernelle, entourés de personnages agenouillés.
Juste en dessous, était écrit ce texte :
“Nous, hommes et femmes laboureurs, demourant au porche, sur le devant de ceste maison, qui fut faicte en l’an 1407, sommes tenus chacun en droit de soy dire tous les jours un patenostre et un Jésus-Ave-Maria, en priant Dieu que de sa grâce face pardon aux povres pescheurs trépassez. Amen.”
Pour le moment, je n’ai modélisé que les personnages de cette frise, le texte viendra au moment du texturage.
Juste en dessous, était écrit ce texte :
“Nous, hommes et femmes laboureurs, demourant au porche, sur le devant de ceste maison, qui fut faicte en l’an 1407, sommes tenus chacun en droit de soy dire tous les jours un patenostre et un Jésus-Ave-Maria, en priant Dieu que de sa grâce face pardon aux povres pescheurs trépassez. Amen.”
Pour le moment, je n’ai modélisé que les personnages de cette frise, le texte viendra au moment du texturage.
Nicolas Flamel…
Au tour de la seconde maison… celle de Nicolas Flamel…
Beaucoup de monde le connaît ce Nicolas, surtout depuis qu’on en a parlé dans le film Harry Potter…
…mais avait-il réellement la Pierre Philosophale… le pouvoir de transmuter le plomb en or… hmmm… beaucoup de légendes et surtout de jalousies à l’époque.
Un homme érudit, travailleur et artiste hors pair… peintre et enlumineur… une hygiène de vie stricte et une morale à toute épreuve… et ce que son labeur d’exception lui offrait comme richesse lui servait à accueillir, aider par son épouse Dame Pernelle, les sans-abris et miséreux…
…alors forcément, il paraissait louche et lui ont été attribués des dons de sorcellerie qu’il n’avait certainement pas.
La maison originale de Nicolas Flamel, datant de la fin du XIVème siècle existe encore de nos jours. Elle est une des 2 plus vieilles maisons de Paris… on la trouve Rue de Montmorency.
En 1900, à l’époque où Robida fit cette reconstitution du Vieux-Paris, elle était méconnaissable. Elle avait été modifiée, surchargée et recouverte pendant des siècles.
Par chance, au début du XXème siècle, elle fût débarassée de sa gangue inesthétique et elle retrouva son aspect “presque” original.
Cette maison est aujourd’hui un restaurant qui semble jouir d’un bon prestige et être une table fort agréable… son nom ? tous simplement l’Auberge Nicolas Flamel.
Les quelques photos que j’ai pu voir de sa devanture extérieure ne m’ont pas vraiment permi de reconnaître complètement ni de faire un parallèle prècis avec la maison que Robida nous a offert dans ce Vieux-Paris.
Mais les points de différences peuvent facilement s’expliquer du fait des modifications survenues au cours des siècles… une restauration ayant pu comporter quelques différences… et le fait qu’Albert Robida a du travailler d’après des gravures du XVIIIème semblerait-il… il y a également la libre interprétation de l’artiste, mais aussi celle liée par les contraintes de fabrication de l’architecte Bénouville, également des contraintes de sécurité (sans parler des contraintes finanières).
Comme je l’ai déjà signalé dans un post précédent, ces édifices du Vieux-Paris n’étaient pas uniquement un décor à la “Disneyland”, fait de carton-pâte, mais de réelles maisons, avec au rez-de-chaussée des échoppes… un ensemble destiné à recevoir pendant plusieurs mois la visite de milliers… voire de millions de visiteurs. Il fallait que cela résiste !
Allez, trêve de bla-bla… les premiers polygones de cette demeure :
Beaucoup de monde le connaît ce Nicolas, surtout depuis qu’on en a parlé dans le film Harry Potter…
…mais avait-il réellement la Pierre Philosophale… le pouvoir de transmuter le plomb en or… hmmm… beaucoup de légendes et surtout de jalousies à l’époque.
Un homme érudit, travailleur et artiste hors pair… peintre et enlumineur… une hygiène de vie stricte et une morale à toute épreuve… et ce que son labeur d’exception lui offrait comme richesse lui servait à accueillir, aider par son épouse Dame Pernelle, les sans-abris et miséreux…
…alors forcément, il paraissait louche et lui ont été attribués des dons de sorcellerie qu’il n’avait certainement pas.
La maison originale de Nicolas Flamel, datant de la fin du XIVème siècle existe encore de nos jours. Elle est une des 2 plus vieilles maisons de Paris… on la trouve Rue de Montmorency.
En 1900, à l’époque où Robida fit cette reconstitution du Vieux-Paris, elle était méconnaissable. Elle avait été modifiée, surchargée et recouverte pendant des siècles.
Par chance, au début du XXème siècle, elle fût débarassée de sa gangue inesthétique et elle retrouva son aspect “presque” original.
Cette maison est aujourd’hui un restaurant qui semble jouir d’un bon prestige et être une table fort agréable… son nom ? tous simplement l’Auberge Nicolas Flamel.
Les quelques photos que j’ai pu voir de sa devanture extérieure ne m’ont pas vraiment permi de reconnaître complètement ni de faire un parallèle prècis avec la maison que Robida nous a offert dans ce Vieux-Paris.
Mais les points de différences peuvent facilement s’expliquer du fait des modifications survenues au cours des siècles… une restauration ayant pu comporter quelques différences… et le fait qu’Albert Robida a du travailler d’après des gravures du XVIIIème semblerait-il… il y a également la libre interprétation de l’artiste, mais aussi celle liée par les contraintes de fabrication de l’architecte Bénouville, également des contraintes de sécurité (sans parler des contraintes finanières).
Comme je l’ai déjà signalé dans un post précédent, ces édifices du Vieux-Paris n’étaient pas uniquement un décor à la “Disneyland”, fait de carton-pâte, mais de réelles maisons, avec au rez-de-chaussée des échoppes… un ensemble destiné à recevoir pendant plusieurs mois la visite de milliers… voire de millions de visiteurs. Il fallait que cela résiste !
Allez, trêve de bla-bla… les premiers polygones de cette demeure :
Maison Natale de Molière…
Poteau Cormier…
Même si la façade de la maison des Poquelin est peu large, elle comporte quand même un détail qui méritait d’être vu lors de la visite du Vieux-Paris…
…c’est également la raison pour laquelle cette maison natale de Molière était appelée le Pavillon des Cinges.
C’est le fameux poteau cormier sculpté… même si de loin, on pourrait croire à un arbre de Jessé, chose courante à l’époque, ce n’est qu’un poteau d’angle de maison, orné de nombreux petits singes qui s’activent à cueillir les fruits d’un arbre au profit paraît-il, de celui resté en bas.
Le nombre de ces singes ainsi que leur réelle disposition restent floues… je les ai donc placé au jugé…
…c’est également la raison pour laquelle cette maison natale de Molière était appelée le Pavillon des Cinges.
C’est le fameux poteau cormier sculpté… même si de loin, on pourrait croire à un arbre de Jessé, chose courante à l’époque, ce n’est qu’un poteau d’angle de maison, orné de nombreux petits singes qui s’activent à cueillir les fruits d’un arbre au profit paraît-il, de celui resté en bas.
Le nombre de ces singes ainsi que leur réelle disposition restent floues… je les ai donc placé au jugé…
Molière et les premiers polygones…
…enfin, je ne sais pas si Molière au berceau, avait déjà connaissance de l’existence des polygones… et de la 3d…
mais toujours est-il que ça y est… c’est démarré… je ne vais pas encore m’étendre sur le sujet, voici les premières images de la construction de la maison natale de Molière.
La prochaine étape sera moins évidente, je veux parler du poteau cormier… avec ses fameux singes ! je n’ai absolument aucune illustration un peu précise pouvant m’aider… je ferais donc de mon mieux… pour conserver l’esprit, faut de pouvoir être complètement fidèle à la réalisation de Robida.
Et comme on peut le constater, une petite devanture !
mais toujours est-il que ça y est… c’est démarré… je ne vais pas encore m’étendre sur le sujet, voici les premières images de la construction de la maison natale de Molière.
La prochaine étape sera moins évidente, je veux parler du poteau cormier… avec ses fameux singes ! je n’ai absolument aucune illustration un peu précise pouvant m’aider… je ferais donc de mon mieux… pour conserver l’esprit, faut de pouvoir être complètement fidèle à la réalisation de Robida.
Et comme on peut le constater, une petite devanture !
Maison Natale de Molière…
Comme je le disais précédemment, pas de photographies de face de cette construction, et encore moins de plan !
Cette maison était celle du père de Molière, et l’a vu naître… elle se trouvait à l’angle de la rue des Vieilles Etuves (actuellement la rue Sauval) et de la rue Saint-Honoré.
Au rez-de-chaussée de l’habitation se trouvait la boutique de l’artisan. Au coin de la maison se trouvait un poteau cormier, sur lequel étaient sculptés de petits singes grimpeurs…
…cette maison était appelée pour cette raison, le Pavillon aux Cinges (avec un “c” à l’époque).
Pour situer précisément cette construction, voici une vue de la Rue des Vieilles Ecoles, en direction du passage vers la place du Pré-aux-Clercs… la Seine se trouve sur notre droite.
La partie colorée de jaune est cette maison natale de Molière, mais on en voit assez peu, mais le poteau cormier est lui bien visible :
Pour l’anecdote, j’ai trouvé sur le web une assiette qui provient de l’Exposition de 1900, sur le Vieux-Paris, avec cette même maison natale de Molière représentée.
Cette illustration est inspirée d’un dessin de Robida, et de la carte postale correspondante colorée qui fait partie d’une série complète…
…je n’en avais jamais entendu parlé avant, mais peut-être y-a-t-il eu également une série complète d’assiettes deu Vieux-Paris de l’Exposition, aux motifs différents :
Cette maison était celle du père de Molière, et l’a vu naître… elle se trouvait à l’angle de la rue des Vieilles Etuves (actuellement la rue Sauval) et de la rue Saint-Honoré.
Au rez-de-chaussée de l’habitation se trouvait la boutique de l’artisan. Au coin de la maison se trouvait un poteau cormier, sur lequel étaient sculptés de petits singes grimpeurs…
…cette maison était appelée pour cette raison, le Pavillon aux Cinges (avec un “c” à l’époque).
Pour situer précisément cette construction, voici une vue de la Rue des Vieilles Ecoles, en direction du passage vers la place du Pré-aux-Clercs… la Seine se trouve sur notre droite.
La partie colorée de jaune est cette maison natale de Molière, mais on en voit assez peu, mais le poteau cormier est lui bien visible :
Pour l’anecdote, j’ai trouvé sur le web une assiette qui provient de l’Exposition de 1900, sur le Vieux-Paris, avec cette même maison natale de Molière représentée.
Cette illustration est inspirée d’un dessin de Robida, et de la carte postale correspondante colorée qui fait partie d’une série complète…
…je n’en avais jamais entendu parlé avant, mais peut-être y-a-t-il eu également une série complète d’assiettes deu Vieux-Paris de l’Exposition, aux motifs différents :
La suite… 2) La Rue des Vieilles Ecoles…
Il est temps de passer enfin à la suite, au sortir à gauche de la place du Pré-aux-Clercs, en direction de l’alignement des constructions qui font faces à la Seine…
Se sont des maisons de personnages connus, chacune d’elle renfermant une échoppe, souvent en rapport avec l’origine de la maison.
De droite à gauche, en venant de la place, on trouve donc successivement :
- la maison natale de Molière,
- la maison de Nicolas Flamel,
- le puit d’amour,
- la maison de Théophraste Renaudot,
- la Tour du Collège Fortet,
- la maison de Robert Estienne,
- le cabaret de la Pomme de Pin, qui fait l’angle et le retour vers la Rue des Remparts…
Se sont des maisons de personnages connus, chacune d’elle renfermant une échoppe, souvent en rapport avec l’origine de la maison.
De droite à gauche, en venant de la place, on trouve donc successivement :
- la maison natale de Molière,
- la maison de Nicolas Flamel,
- le puit d’amour,
- la maison de Théophraste Renaudot,
- la Tour du Collège Fortet,
- la maison de Robert Estienne,
- le cabaret de la Pomme de Pin, qui fait l’angle et le retour vers la Rue des Remparts…
On tourne une page…
Je ferais certainement de nouvelles images un peu plus travaillée de la partie qui vient de s’achever… mais pour le moment, il faut que je m’attèle sérieusement à la partie suivante… les façades des maisons de la Rue des Vieilles Ecoles…
…et ensuite, le verso, avec la Rue des Remparts.
En attendant, et pour le plaisir, une dernière image du quartier Saint-Michel… vue sur la Bretêche du Restaurant du Pré-aux-Clercs… un au-revoir, pas un adieu :
…et ensuite, le verso, avec la Rue des Remparts.
En attendant, et pour le plaisir, une dernière image du quartier Saint-Michel… vue sur la Bretêche du Restaurant du Pré-aux-Clercs… un au-revoir, pas un adieu :
Silence radio ?
Non, pas du tout, même si je n’ai pas du tout posté depuis plusieurs jours, cela ne veut pas dire que la machine est au ralenti… il y a seulement des choses qui sont à faire pour le projet, qui sont un peu moins visibles… principalement du travail de documentation et de recherche.
J’ai quand même également pris le temps de faire un petit tour d’horizon, sur ce qu’il manquat réellement pour terminer la quartier Saint-Michel… que du détail… mais ça compte.
Voici le détail de ma TODO LIST (ça fait peur quand même ) :
- remplacer le torchis de la partie haute du passage vers la Rue des Vieilles Ecoles par des tuiles de bois bleues,
- colombage terrasse restaurant,
- fenêtre borgne Tour du Louvre
- poutres sur façades Seine,
- lampes accrochées sur la place,
- drapeaux bretêche porte Saint-Michel + drapeau terasse,
- guitounes à l’entrée de la Porte Saint-Michel,
- enseigne de l’échoppe de la place, et surtout, trouver la représentation qui était dessus !
- les 2 arbres de la place du Pré-aux-Clercs,
- panneau entrée Vieux-Paris, à priori, il se trouvait à des endroits différents suivant les périodes de l’expo,
- panneau restaurant Tour d’angle + sur le bretêche,
- le pendu de la Tour du Louvre,
- les arbres de l’arrière-plan, entre le Vieux-Paris et Paris,
- travailler sur la base, le profil des berges de la Seine et les pilotis du Vieux-Paris
- commencer le pavement,
- faire les rampes d’accès à l’entrée vers la Porte Saint-Michel,
- mettre en place la station “Alma” des bateaux parisiens… éventuellement placer le pont de l’Alma !
- en attendant d’avoir le temps de créer de nouveaux personnages, ressortir le garde qui m’avait servi pour la reconstitution du Donjon du Château de Coucy,
- améliorer les textures des blasons de façade de la Porte Saint-Michel, enfin… il faudrait trouver de meilleures photographies…
- définir et dessiner les plans de masse des immeubles parisiens, en arrière-plan… puis les modéliser et texturer simplement.
- essayer de placer une tour Eiffel low res, pour voir si elle était visible de l’intérieur de la place du Pré-aux-Clercs.
Mais une chose est sûre… il va falloir priorisé, si je veux m’atteler à la suite…à savoir la Rue des Vieilles Ecoles.
Je n’ai pas eu le temps de faire de rendus… mais j’ai déjà commencé la modélisation de la maison qui fait l’angle avec le passage de la place du Pré-aux-Clercs, la maison natale de Molière.
Elle est loin d’être évidente à réaliser, très peu de documentation, et encore moins de photos de sa façade, il faut dire qu’elle se trouve dans la partie la plus étroite de la ruelle, il n’y avait certainement que 5 mètres de recul, pas évident avec les appareils photographiqes de 1900.
Je me base donc essentiellement sur les quelques dessins de Robida… mais hélàs, ils comportent tous des différences ! alors j’essaie de jongler avec les bouts de photos prisent en biais… où j’essaie de distinguer le placement des colombages… un jeu de patience, où je recommence souvent !
J’ai quand même également pris le temps de faire un petit tour d’horizon, sur ce qu’il manquat réellement pour terminer la quartier Saint-Michel… que du détail… mais ça compte.
Voici le détail de ma TODO LIST (ça fait peur quand même ) :
- remplacer le torchis de la partie haute du passage vers la Rue des Vieilles Ecoles par des tuiles de bois bleues,
- colombage terrasse restaurant,
- fenêtre borgne Tour du Louvre
- poutres sur façades Seine,
- lampes accrochées sur la place,
- drapeaux bretêche porte Saint-Michel + drapeau terasse,
- guitounes à l’entrée de la Porte Saint-Michel,
- enseigne de l’échoppe de la place, et surtout, trouver la représentation qui était dessus !
- les 2 arbres de la place du Pré-aux-Clercs,
- panneau entrée Vieux-Paris, à priori, il se trouvait à des endroits différents suivant les périodes de l’expo,
- panneau restaurant Tour d’angle + sur le bretêche,
- le pendu de la Tour du Louvre,
- les arbres de l’arrière-plan, entre le Vieux-Paris et Paris,
- travailler sur la base, le profil des berges de la Seine et les pilotis du Vieux-Paris
- commencer le pavement,
- faire les rampes d’accès à l’entrée vers la Porte Saint-Michel,
- mettre en place la station “Alma” des bateaux parisiens… éventuellement placer le pont de l’Alma !
- en attendant d’avoir le temps de créer de nouveaux personnages, ressortir le garde qui m’avait servi pour la reconstitution du Donjon du Château de Coucy,
- améliorer les textures des blasons de façade de la Porte Saint-Michel, enfin… il faudrait trouver de meilleures photographies…
- définir et dessiner les plans de masse des immeubles parisiens, en arrière-plan… puis les modéliser et texturer simplement.
- essayer de placer une tour Eiffel low res, pour voir si elle était visible de l’intérieur de la place du Pré-aux-Clercs.
Mais une chose est sûre… il va falloir priorisé, si je veux m’atteler à la suite…à savoir la Rue des Vieilles Ecoles.
Je n’ai pas eu le temps de faire de rendus… mais j’ai déjà commencé la modélisation de la maison qui fait l’angle avec le passage de la place du Pré-aux-Clercs, la maison natale de Molière.
Elle est loin d’être évidente à réaliser, très peu de documentation, et encore moins de photos de sa façade, il faut dire qu’elle se trouve dans la partie la plus étroite de la ruelle, il n’y avait certainement que 5 mètres de recul, pas évident avec les appareils photographiqes de 1900.
Je me base donc essentiellement sur les quelques dessins de Robida… mais hélàs, ils comportent tous des différences ! alors j’essaie de jongler avec les bouts de photos prisent en biais… où j’essaie de distinguer le placement des colombages… un jeu de patience, où je recommence souvent !
Le Quartier Saint-Michel… textures terminées…
Et les rendus promis avant-hier, du quartier Saint-Michel, complètement texturé.
Terminé ? enfin presque, car j’ai listé un certain nombre de choses à corriger, erreurs ou oublis… à faire relativement vite, du moins avant d’attaquer la prochaine partie… et d’autres un peu moins urgentes, mais qu’il faut que je garde dans le coin de ma ptite tête
En attendant… les images :
Terminé ? enfin presque, car j’ai listé un certain nombre de choses à corriger, erreurs ou oublis… à faire relativement vite, du moins avant d’attaquer la prochaine partie… et d’autres un peu moins urgentes, mais qu’il faut que je garde dans le coin de ma ptite tête
En attendant… les images :
2 dernières bâtisses pour le Quartier Saint-Michel…
Façades Moyen-âge sur la Seine…
J’étais un peu en retard au nigveau de mes mises-à-jour, en fait, ce qui suit n’est pas le travail du week-end mais celui de la fin de semaine dernière.
Ce week-end a été riche en vie sociale, et le projet s’est un peu reposé.
Je commence à voir le bout de la partie Saint-Michel, qui devrait être bouclée pour la fin de semaine… j’essaierais de voir également pour la liste de “points de détails” à régler.
Quelques images :
Ce week-end a été riche en vie sociale, et le projet s’est un peu reposé.
Je commence à voir le bout de la partie Saint-Michel, qui devrait être bouclée pour la fin de semaine… j’essaierais de voir également pour la liste de “points de détails” à régler.
Quelques images :
On en parle…
Mardi 2 janvier 2008, je reçois un mail de mon ami Jean-Phlippe, pour m’informer que sur le site de Télérama, il y a un article concernant mon projet de reconstitution en 3d de l’expo 1900…
…n’ayant pas été prévenu, j’y cours pour le lire… sympa, on dirait que ce projet à bien plu au journaliste .
Petite déception quand même, mon nom n’est cité nulle part… dommage, mais il y a quand même l’adresse du site.
Jeudi 3 janvier 2008, je reçois un autre mail, de mon ami Nico (Tit-co), qui lui m’informe d’un article dans un Télérama de décembre, concernant le projet.
Avec sa gentillesse habituelle, il me l’a scanné et envoyé… c’est le même… toujours sans mon nom.
…n’ayant pas été prévenu, j’y cours pour le lire… sympa, on dirait que ce projet à bien plu au journaliste .
Petite déception quand même, mon nom n’est cité nulle part… dommage, mais il y a quand même l’adresse du site.
Jeudi 3 janvier 2008, je reçois un autre mail, de mon ami Nico (Tit-co), qui lui m’informe d’un article dans un Télérama de décembre, concernant le projet.
Avec sa gentillesse habituelle, il me l’a scanné et envoyé… c’est le même… toujours sans mon nom.
Une qui m’aura donné du “fil à retordre”
Après une modélisation que je qualifierais de “délicate”, un texturing plus qu’approximatif faute de documentation… j’ai essayé d’être dans l’esprit de l’aspect de la partie arrière qui est souvent “perceptible” sur les photos prises de la Seine… un aspect “pierre” que l’on peut imaginer un peu travaillé que pour la Tour du Louvre, par exemple !
La texture sur le mur latéral peut paraître un peu trop “répétitive”, mais ce mur faisant partie intégrante du corps de bâtiments, sera invisible ensuite.
La texture sur le mur latéral peut paraître un peu trop “répétitive”, mais ce mur faisant partie intégrante du corps de bâtiments, sera invisible ensuite.
ParisFx - Novembre 2007
Dans la folie des dernières semaines de l’année 2007, j’avais complètement oublié de vous parler de ceci :
Les 28 et 29 novembre derniers se déroulaità Paris, au Palais des Congrès, le premier showcase dédié à la création numérique et à la production des effets visuels en France, ParisFx…
A l’occasion de cet évènement, a été édité un petit catalogue, contenant le programme, des interviews, et un annuaire d’artistes numériques français illustré de leurs images.
L’organisateur ayant eu un “coup de coeur” pour cette reconstitution de l’Exposition Universelle de 1900 avait souhaité s’en faire l’écho à travers ce catalogue. Il avait donc présenté et soutenu le projet dans l’édito, illustré en double page du grand panorama des 15 pavillons des Nations en bord de Seine, également réservé une interview ainsi que 2 pages à des images de WIP, la Porte Monumentale et le Pavillon de la Belgique…
…et cerise sur le gateau, la Couverture… avec un rendu très “FX” de la Porte Monumentale qui se trouvait place de la Concorde, lors de l’expo 1900…
Voici quelques photos du catalogue :
Les 28 et 29 novembre derniers se déroulaità Paris, au Palais des Congrès, le premier showcase dédié à la création numérique et à la production des effets visuels en France, ParisFx…
A l’occasion de cet évènement, a été édité un petit catalogue, contenant le programme, des interviews, et un annuaire d’artistes numériques français illustré de leurs images.
L’organisateur ayant eu un “coup de coeur” pour cette reconstitution de l’Exposition Universelle de 1900 avait souhaité s’en faire l’écho à travers ce catalogue. Il avait donc présenté et soutenu le projet dans l’édito, illustré en double page du grand panorama des 15 pavillons des Nations en bord de Seine, également réservé une interview ainsi que 2 pages à des images de WIP, la Porte Monumentale et le Pavillon de la Belgique…
…et cerise sur le gateau, la Couverture… avec un rendu très “FX” de la Porte Monumentale qui se trouvait place de la Concorde, lors de l’expo 1900…
Voici quelques photos du catalogue :
Inscription à :
Articles (Atom)