Comme tout le monde, il naquit un jour, ce fût pour lui le 14 mars 1848 à Compiègne.
C’est donc un enfant du romantisme, ce qui l’influencera très certainement dans ses goûts et ses choix.
Fils de menuisier, il poursuivit des études pour devenir notaire, mais sans grande passion. Il préférait de loin s’adonner aux plaisirs du dessin et surtout de la caricature.
C’est à l’âge de 18 ans qu’il publiera ses premieres illustrations, entre autres dans “le journal amusant”.
C’est en 1880 qu’il fondera sa première revue nommée “la caricature”, en collaboration avec l’Editeur Georges Decaux.
C’est donc un enfant du romantisme, ce qui l’influencera très certainement dans ses goûts et ses choix.
Fils de menuisier, il poursuivit des études pour devenir notaire, mais sans grande passion. Il préférait de loin s’adonner aux plaisirs du dessin et surtout de la caricature.
C’est à l’âge de 18 ans qu’il publiera ses premieres illustrations, entre autres dans “le journal amusant”.
C’est en 1880 qu’il fondera sa première revue nommée “la caricature”, en collaboration avec l’Editeur Georges Decaux.
C’est dans cette revue que se feront connaître parmi les plus grands illustrateurs de l’époque, comme Caran d’Ache, Maurice Radiguet ou le fameux Job !
En marge de cette activité, il poursuit son ouvre d’illustrateur dans des classiques de la littérature, dans des livres historiques ou même des guides historiques…
Albert Robida est également un écrivain très prolifique, doublé d’un visionnaire. Il n’a rien à envier à Jules Verne, car il a la faculter d’inventer également d’incroyables machines, mais qui ont, elles, l’indéniable attraît d’être adaptées à notre vie de tous les jours, alors que Jules Verne donne plus dans le fantastique et l’incroyable, voire la démesure imaginative. Les descriptions de Robida sont quant à elles beaucoup plus pragmatiques, et associent souvent progrès des sciences et techniques au bien être des personnes, sensées bénéficier et utiliser ces curieuses inventions. C’est lui qui “inventera” bien avant l’heure, la télévision… il la nomme le “Téléphonoscope”. Un large écran plat mural qui permet entre autres de suivre les pièces de théâtre, confortablement installé dans son salon.
En marge de cette activité, il poursuit son ouvre d’illustrateur dans des classiques de la littérature, dans des livres historiques ou même des guides historiques…
Albert Robida est également un écrivain très prolifique, doublé d’un visionnaire. Il n’a rien à envier à Jules Verne, car il a la faculter d’inventer également d’incroyables machines, mais qui ont, elles, l’indéniable attraît d’être adaptées à notre vie de tous les jours, alors que Jules Verne donne plus dans le fantastique et l’incroyable, voire la démesure imaginative. Les descriptions de Robida sont quant à elles beaucoup plus pragmatiques, et associent souvent progrès des sciences et techniques au bien être des personnes, sensées bénéficier et utiliser ces curieuses inventions. C’est lui qui “inventera” bien avant l’heure, la télévision… il la nomme le “Téléphonoscope”. Un large écran plat mural qui permet entre autres de suivre les pièces de théâtre, confortablement installé dans son salon.
Ce sont certainement ses qualités de dessinateurs et d’illustrateurs qui lui auront permis de voir ces pures produits de son imagination d’une manière presque plausible.
C’est donc cet homme, également passionné d’histoire, de Moyen-âge et d’architecture qui se verra confier la charge, aidé de sa fille Emilie, de reconstituer un voyage dans le Vieux Paris, au coeur de cette exposition de 1900.
C’est donc cet homme, également passionné d’histoire, de Moyen-âge et d’architecture qui se verra confier la charge, aidé de sa fille Emilie, de reconstituer un voyage dans le Vieux Paris, au coeur de cette exposition de 1900.
Bien sûr, les puristes pourront critiquer. Même si l’on y trouve des références à de illustres monuments ou demeures, ce n’est pas une reconstitution historique précise à 100%, ce n’était pas le but. Cette re-création, permet de se plonger dans les rues de Paris à différentes époques, du Moyen-âge au XVIIIème, et pour un moment, de s’immerger et de s’imprégner de l’ambiance de ces temps parisiens passés.
On ne s’y trompait d’ailleurs pas, puisque ce Vieux Paris était considéré comme une Attraction de l’Exposition Universelle de 1900… certainement la plus impressionnante !
Même si sa renommée baissa quelque peu après la guerre 14-18, il n’en demeurait pas moins productif et aussi talentueux.
Il décèdera le 11 octobre 1926 à Neully-sur-Seine.
Même si sa renommée baissa quelque peu après la guerre 14-18, il n’en demeurait pas moins productif et aussi talentueux.
Il décèdera le 11 octobre 1926 à Neully-sur-Seine.
3 commentaires:
Juste une correction : Ce n'est pas Camille qui aida Albert ROBIDA, mais sa fille Emilie. Camille était un de ses fils qui devint architecte.
A part ce détail de très grands bravos pour vos travaux tout à fait remarquables.
Philippe ROBIDA
Bonsoir Philippe... quel plaisir et quel honneur d'accueillir un "Robida" sur ce blog !
Désolé pour cette méprise (certainement à cause de ma soeur Camille... hahaha)
Voilà... c'est maintenant réparé, merci.
Bien à vous,
Laurent
Fausse alerte dans mon commentaire précédent, je pense qu'il s'agit simplement d'une erreur de prénom sur le site expositions.bnf (Camille au lieu d'Albert) !
Enregistrer un commentaire