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ça commencer à me manquer, aligner des polygones... voilà, c'est donc reparti...
Rien de bien exceptionnel... dans ce cas, le plus compliqué a été de replacer les coupes et profils de la Seine aux bons endroits, et de déduire "le plantage" de pilotis.
Pour le moment, c'est placer " dans les grandes lignes", il va falloir que j'adapte les parties qui avaient des contreventements différents, que j'aménage la partie Saint-Michel, et que je garnisse la partie arrière au niveau des Grandes Halles.
Dans toutes les lectures de l'époque, on rapporte le nombre d'un millier de pieux... je n'en suis pas loin, puisque j'arrive à 800... une fois comblés les "trous", je ne serais certainement plus très loin de ces 1000 pilotis...
Le profil du quai a été déduit grâce à des éléments parus dans la revue "la science française"
Bien sûr, comme certains auront pu le constater, la majeure partie de ces pilotis ne sera plus visible "in fine"... je les cacherais donc, mais j'ai quand même souhaité les réaliser et les placer, pour en déduire certains autres détails ou placer de futur éléments.
La forme de la Seine a été réalisée à partir des plans du Rapport d'Alfred Picard, commissaire général de l'Exposition.
Tous ces recoupements me permettront de gagner un peu en précision, car les zones d'ombres sont nombreuses quand même.
La prochaine étape devrait être les passerelles d'accès à l'entrée du Vieux Paris, en arrivant du Pont de l'Alma, mais également à partir de la station des bateaux parisiens.
C'est pour cette raison que j'ai déjà placé quelques construction de la Porte Saint-Michel.
Sur l'image ci-dessous, on se rend vraiment compte de la densité de plantation, 1 piloti tous les 2 mètres... sur 260 mètres de longueur !
Je pense que la solidité requise était bien présente...
La suite demain... normalement ;-)
jeudi 19 février 2009
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3 commentaires:
C'est tout simplement impressionnant !
Fascinant ! On est loin d'imaginer tout ce qui a été nécessaire pour réaliser le veux Paris. Ton travail permet également d'entrevoir l'envers du décors, c'est captivant...
C'est vrai qu'il est assez incroyable de voir que sans les moyens techniques actuels que nous connaissons, rien ne les arrêtait !
J'aurais bien sûr pu faire l'impasse sur les détails de cette plateforme... mais comme c'est le "détail" qui a quand même permis que le Vieux Paris existe, il est à la base de tout dans cette réalisation d'Albert Robida...
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